Ce blog a pour but de faire connaître un lieu, Montjoire, avec son ambiance et un environnement que j'apprécie beaucoup. Il y a aussi les moments de vie et les gens qui partagent ces instants.... C'est un regard sur la vie de Montjoire, mais aussi une Association d'amis, La Roue Carrée Montjovienne, dont le but premier est la pratique du vélo afin de développer l'appétit et la bonne humeur.
samedi 20 février 2010
Le tennis Club de Montjoire, retour gagnant
Une nouvelle association vient de fleurir à Montjoire, le Tennis club de Montjoire.
Le nouveau club de tennis de Montjoire, affilié à la Fédération Française de Tennis a été officiellement lancé le 13 février 2010 à l’initiative d’Ivan Stempezynski qui en est également le Président. Le bureau est également constitué de, Sophie Mérianne, Secrétaire et de Régis De La Fonchais, Trésorier.
Pour son lancement, le TCM propose des conditions exceptionnelles d'inscription.
Conditions 2010 pour un accès illimité au court de tennis de Montjoire :
• Licence FFT + cotisation TCM + clé d'accés : 40 € l'année sportive
• Pour les moins de 18 ans : Licence FFT + cotisation TCM
+ clé d'accès : 30 € l'année sportive
• Pour les personnes déjà détentrices d'une licence : cotisation TCM
+ clé d'accès: 30 € l'année sportive
Pour cela remplissez le bulletin d'inscription ci-joint, envoyez-le à l'adresse indiquée et venez retirer votre licence, votre clé personnelle d'accès ainsi que votre carte de membre du TCM,
Bulletin d'inscription TCM et licence FFT 2010
Nom :
Prénom :
Date de naissance (jj/mm/aaaa):
Nationalité :
Adresse :
Code Postal :
Ville :
Adresse email :
A compléter et à envoyer (copier coller) à : t.c.montjoire@gmail.com
Une vingtaine de personnes sont venues s’inscrire samedi dernier pour le lancement du nouveau Tennis Club de Montjoire, venez nombreux les rejoindre.
Le Bureau du TCM et son Président sont heureux de constater que l’idée de recréer un Club de tennis a séduit. Maintenant place au jeu le moment est venu de taper dans la balle, de passer un bon moment et vivre d'intenses parties dans le cadre magnifique du court de tennis, maintenant flambant neuf, qui est mis à notre disposition.
L'accès au court vous est ouvert dès cette semaine. N'hésitez pas à amener vos voisins, vos amis, vos cousins à s'inscrire au T.C.M.
Foot, Marche, Gymnastique, Vélo et maintenant Tennis….Montjoire c’est musclé
Bien évidemment La Roue Carrée fait d’ores et déjà partie des fidèles supporters et amis du Tennis Club de Montjoire. Longue vie au T.C.M.
mercredi 10 février 2010
La Roue Carrée en Ecosse
Le premier match du tournoi de rugby des six nations opposant l'Ecosse à la France a été l'occasion de faire tourner la Roue Carrée chez les joueurs de cornemuse. Une équipe a donc été constituée, une sélection triée sur le volet. Les athlètes devaient remplir toutes les garanties de bon vivre, bonne humeur et tenue à l'effort pour prétendre à la sélection. Dans ce cas précis la tenue à l'effort c'est plus précisément un récipient en verre d'une contenance variant de 25 à 50 centilitres remplis d'une bière blonde, ou brune pour faire local. Un verre plus petit est également accepté, mais dans ce cas, pour être homologué, il doit alors être rempli de whisky. Un athlète qui se dépense ça mange vous vous en doutez. Donc, la aussi pas d'improvisation. Il ne s'agissait pas, pour une épreuve de ce niveau, de caler à cause d'une minable fringale. C'est donc un chargement de 90 kilos de victuailles qui a accompagné les sportifs. Il a fallut répartir la masse en trois chargements, chaque valise ne pouvant dépasser les trente kilos autorisés. Tout avait été préparé la veille du départ suivant les instructions des entraîneurs nutritionnistes. Huit kilos de saucisse grillée, quatre kilos de cuisses et ailes de poulet également grillés, un jambon entier, de la charcuterie complémentaire, des fromages et les grosses miches de pain qui vont avec. Pour faire passer tout ça, un cubitainer de rosé, un autre de rouge, du Ricard pour bien identifier la nation en compétition et du vin encore, mais en bouteilles. Ces dernières pour les offrir à nos amis Ecossais. Voilà, ont étaient prêts.
En avant toute, direction Edimbourg. Départ de Blagnac avec comme première escale Gatwick, en périphérie de Londres.
Comme nous avions du temps avant la correspondance, récupération des bagages pour un premier casse-croûte. C'est que les voyages ça creuse. Nous voilà bien installés dans un hall, tous autour d'une table avec des voyageurs envieux de nous voir manger en joie alors qu'ils ne peuvent envisager qu'un plateau repas, fadasse, au goût quelconque, acheté dans une boutique de l'aéroport. Pour être honnête, nous avons aussi acheté quelque chose dans cette boutique, une bouteille d'eau pour arroser le Ricard.
Le temps restant à été mis à profit pour faire une escapade rapide à Londres. Un coup de train, un tour de métro et hop! nous voilà rendus au pied de Big Ben et ensuite un p'tit coup d'pub. Non, pas la pub de la télé, le pub british avec un comptoir en acajou et de la bière. Retour à l'aéroport et départ groupé vers la destination finale, Edimbourg. Une fois sur place, nous avons effectué le transfert vers le centre ville avec un bus à étage, modèle très répandu outre manche et plus rare chez nous. Je ne sais pas pourquoi, c'est tellement plus sympa. Notre lieu de séjour est situé en plein centre ville, c'est bien pratique. C'est une auberge de jeunesse, ont est toujours jeunes à la Roue Carrée, sans grand confort mais suffisant pour notre périple de trois jours. J'ai le grand plaisir de retrouver Nico qui nous attend et que je n'ai pas revu depuis un moment. Nico, je le connais depuis qu'il est tout jeune. Il est maintenant marié à une Ecossaise et vit ici, en Ecosse. Venu avec son voisin et copain, ils font la connaissance du groupe. Rien de meilleur, pour discuter entre potes, qu'un petit en cas. Et hop!, la table est mise. Gilbert, nommé responsable en chef du découpé de jambon, a assumé son rôle avec brio.
Requinqués, nous voilà partis en ville découvrir les activités nocturnes du pays. La ville est jolie et les Ecossais accueillants et sympathiques et grosse différence avec l'Angleterre, les Français y sont bien vus. A deux heures, extinction des feux imposée, nous regagnons nos deux chambres. Une de quatre lits pour les plus silencieux et la deuxième regroupant huit lits pour les scieurs de bois de la ronflette. Il est clair que dans la catégorie bûcheron il y a des gros scieurs et des petits tailleurs de haies. Certain, pour luter contrer ces bruits nocturnes, s'étaient équipés de casque anti-bruit. Par charité humaine envers mes potes je ne diffuserais pas les photos, par contre, j'ai les classements sonores à disposition pour ceux que ça intéresse.
Frais et dispos, le matin du match nous avons eu le temps d'aller faire le tour de la ville en bus pour en découvrir ses richesses. Ensuite, arrive le moment du pèlerinage. Du centre ville jusqu'au stadium il y a environ quatre kilomètres qu'il faut faire à pied. Nico et son beau-frère Stuart nous accompagnent.
Stuart, un joli bébé de deux mètres, est venu avec le kilt traditionnel. J'entends déjà la question…. Est-ce que les Ecossais sont nus sous leur kilt ? La réponse est oui. Ils ont les clochettes qui pendent. Et avec la température qu'il faisait ce jour là, elles devaient être bleues. Mais rassurez-vous, il avait des gants pour ne pas avoir froid aux mains…
La masse des spectateurs progresse vers le stade empêchant toute circulation. Cette marche, c'est un rituel qui permet de voir l'exubérance, au sens positif du terme, des supporters. Soixante quinze mille spectateurs et pas une embrouille. Pas d'armée de policiers pour gérer la situation, tout se passe dans la bonne humeur. La représentation Montjovienne a tenu à poser fièrement avec la banderole de la roue Carrée pour marquer sa présence dans ce lieu mythique du rugby. Bien placés, tous ensemble, nous avons assisté à la victoire française avec, en ouverture les hymnes nationaux, surtout celui des écossais chanté a capella par tout le stade. Un très grand moment. Après le match, dernière soirée au restaurant. De nous tous, deux courageux affrontent le plat local, Denis et moi. Le Haggis, de la panse de brebis farcie. Nous avons survécus. Le lendemain matin, réveil matinal pour le retour. Nous avons tous terminés notre voyage un peu sur les genoux. Mais en tous cas contents d'avoir passé un très bon moment. L'équipe était composée de :Jean Pierre, alias le brame du cerf, Christophe le bûcheron, Gilbert le chef jambon, Christian, Gilles, Régis, Lionel pour la délégation André, sans oublier José le joueur de cornemuse, Denis et Sylvain les mangeurs de haggis, Robert le casqué et Jean dit "grand béret". Quelle belle équipe ! Merci encore à Nico pour son aide dans l'organisation de cette expédition.
Et maintenant, quelle sera la prochaine aventure de la Roue Carrée ? A suivre…..
En avant toute, direction Edimbourg. Départ de Blagnac avec comme première escale Gatwick, en périphérie de Londres.
Comme nous avions du temps avant la correspondance, récupération des bagages pour un premier casse-croûte. C'est que les voyages ça creuse. Nous voilà bien installés dans un hall, tous autour d'une table avec des voyageurs envieux de nous voir manger en joie alors qu'ils ne peuvent envisager qu'un plateau repas, fadasse, au goût quelconque, acheté dans une boutique de l'aéroport. Pour être honnête, nous avons aussi acheté quelque chose dans cette boutique, une bouteille d'eau pour arroser le Ricard.
Le temps restant à été mis à profit pour faire une escapade rapide à Londres. Un coup de train, un tour de métro et hop! nous voilà rendus au pied de Big Ben et ensuite un p'tit coup d'pub. Non, pas la pub de la télé, le pub british avec un comptoir en acajou et de la bière. Retour à l'aéroport et départ groupé vers la destination finale, Edimbourg. Une fois sur place, nous avons effectué le transfert vers le centre ville avec un bus à étage, modèle très répandu outre manche et plus rare chez nous. Je ne sais pas pourquoi, c'est tellement plus sympa. Notre lieu de séjour est situé en plein centre ville, c'est bien pratique. C'est une auberge de jeunesse, ont est toujours jeunes à la Roue Carrée, sans grand confort mais suffisant pour notre périple de trois jours. J'ai le grand plaisir de retrouver Nico qui nous attend et que je n'ai pas revu depuis un moment. Nico, je le connais depuis qu'il est tout jeune. Il est maintenant marié à une Ecossaise et vit ici, en Ecosse. Venu avec son voisin et copain, ils font la connaissance du groupe. Rien de meilleur, pour discuter entre potes, qu'un petit en cas. Et hop!, la table est mise. Gilbert, nommé responsable en chef du découpé de jambon, a assumé son rôle avec brio.
Requinqués, nous voilà partis en ville découvrir les activités nocturnes du pays. La ville est jolie et les Ecossais accueillants et sympathiques et grosse différence avec l'Angleterre, les Français y sont bien vus. A deux heures, extinction des feux imposée, nous regagnons nos deux chambres. Une de quatre lits pour les plus silencieux et la deuxième regroupant huit lits pour les scieurs de bois de la ronflette. Il est clair que dans la catégorie bûcheron il y a des gros scieurs et des petits tailleurs de haies. Certain, pour luter contrer ces bruits nocturnes, s'étaient équipés de casque anti-bruit. Par charité humaine envers mes potes je ne diffuserais pas les photos, par contre, j'ai les classements sonores à disposition pour ceux que ça intéresse.
Frais et dispos, le matin du match nous avons eu le temps d'aller faire le tour de la ville en bus pour en découvrir ses richesses. Ensuite, arrive le moment du pèlerinage. Du centre ville jusqu'au stadium il y a environ quatre kilomètres qu'il faut faire à pied. Nico et son beau-frère Stuart nous accompagnent.
Stuart, un joli bébé de deux mètres, est venu avec le kilt traditionnel. J'entends déjà la question…. Est-ce que les Ecossais sont nus sous leur kilt ? La réponse est oui. Ils ont les clochettes qui pendent. Et avec la température qu'il faisait ce jour là, elles devaient être bleues. Mais rassurez-vous, il avait des gants pour ne pas avoir froid aux mains…
La masse des spectateurs progresse vers le stade empêchant toute circulation. Cette marche, c'est un rituel qui permet de voir l'exubérance, au sens positif du terme, des supporters. Soixante quinze mille spectateurs et pas une embrouille. Pas d'armée de policiers pour gérer la situation, tout se passe dans la bonne humeur. La représentation Montjovienne a tenu à poser fièrement avec la banderole de la roue Carrée pour marquer sa présence dans ce lieu mythique du rugby. Bien placés, tous ensemble, nous avons assisté à la victoire française avec, en ouverture les hymnes nationaux, surtout celui des écossais chanté a capella par tout le stade. Un très grand moment. Après le match, dernière soirée au restaurant. De nous tous, deux courageux affrontent le plat local, Denis et moi. Le Haggis, de la panse de brebis farcie. Nous avons survécus. Le lendemain matin, réveil matinal pour le retour. Nous avons tous terminés notre voyage un peu sur les genoux. Mais en tous cas contents d'avoir passé un très bon moment. L'équipe était composée de :Jean Pierre, alias le brame du cerf, Christophe le bûcheron, Gilbert le chef jambon, Christian, Gilles, Régis, Lionel pour la délégation André, sans oublier José le joueur de cornemuse, Denis et Sylvain les mangeurs de haggis, Robert le casqué et Jean dit "grand béret". Quelle belle équipe ! Merci encore à Nico pour son aide dans l'organisation de cette expédition.
Et maintenant, quelle sera la prochaine aventure de la Roue Carrée ? A suivre…..
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