dimanche 7 octobre 2012

Le bon braquet de La Roue Carrée

Sur le Tour de France pour les étapes de grandes importances, les coureurs utilisent des belles mécaniques. Mais, plus important, il faut également ne pas se tromper sur le choix des braquets.
Comme les coureurs, pour l’étape du jour la Roue Carrée avait adopté la bonne démultiplication sur un engin des plus sophistiqué, jugez-en par vous-même….

Mais, amis lecteurs, reprenons depuis le début. En cette fin de saison, la tension était extrême, le classement général de l’épreuve pouvait être remis en cause en cas de défaillance. L’équipe était prête, très bien entrainée pour ce genre d’épreuve.
La météo était de notre côté avec un temps que nous apprécions, douceur, voire même chaleur pour cette fin de journée de début octobre. Le ravitaillement en bidons de rosé allait être intense. Vingt heures,  Ca y est le départ est donné au cent vingt participants de la course. Première attaque en règle sur l’apéro. Le punch maison, les apéritifs anisés, les bières sont mises à mal, en grande difficulté depuis le départ, surement dans un mauvais jour, la carafe d’eau a déjà abandonné alors que nous sommes encore loin de l’arrivée.
 Après un léger répit le peloton passe à table, dans les musettes de ravitaillement la salade Gersoise est engloutie à grand coups de rosé.  Une équipe tente l’échappée……Les Bisseaux.  Après de belles descentes, et glou et glou et glou ils seront revus avant l’attaque du plat principal.
Avec le bon développement dont est équipée leur machine de haute technologie, les dix beaux gigots qui ont moulinés d’un rythme régulier sous une température extrême qui a fait cuire les plus résistants. Ils ont dû se rendre à l’évidence, le peloton des mangeurs était le plus fort.  Avec le ravitaillement régulier des arrosages et badigeonnages de sauce et les contrôles fréquents de l’état, ils étaient à point, c’est-à-dire bien cuits. La passe d’arme a été sévère et la moyenne n’a pas faibli. Toujours élevé, un verre après l’autre.
Quelques faits d’armes entre le fromage et le dessert, au moment où le rosé en bout de course a laissé place au rouge pour l’hydratation mais rien de décisif pour le classement final. Il y a bien eu une dernière tentative au moment des digestifs mais il faut le dire, face à un peloton des plus entrainé on se dirigeait vers un emballage groupé.
La boucle finale s’est déroulée en musique car les athlètes étaient encore plein de force. Aucun abandon majeur n’a été noté, quelques défaillances très légères mais sans conséquence car les attardés ont tous effectué un retour rapide dans le peloton de tête.
Arrivée groupée au petit matin avec un seul vainqueur : l’ensemble des participants. Le classement général est donc inchangé et ce joyeux peloton pourra prendre le départ de la prochaine étape de la compétition préférée de La Roue Carrée : Le Grand Prix de la Joie de Bien Vivre.
Merci à tous les athlètes et à bientôt

Toutes les photos en cliquant sur
https://plus.google.com/photos/106165213015545660823/albums/5796622903558150321?authkey=CKeZser_iM-ACQ
 

5 commentaires:

  1. Je m’arrête très souvent sur votre site que j’apprécie beaucoup, cela me permet de m’évader et de penser à autres choses....Que du bonheur !! Merci .

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et c'est bien le but de la Roue Carrée
      Merci pour vos encouragements

      Supprimer

  2. Je ne vais pas faire dans l’originalité mais votre blog est tellement bien qu’on ne peut rien dire d’autre que MERCI BEAUCOUP !

    RépondreSupprimer
  3. Je trouve votre site d'une richesse incroyable et d'une beauté super.

    voyante

    RépondreSupprimer
  4. Waouhhhh !! Vous avez de sacrées idées !!! C'est génial ce que vous faites ; joli partage et interface facile pour naviguer tranquillement !! Bravo !!!
    Cordialement

    RépondreSupprimer