Avec la Roue Carrée, ça pète le feu

Démonstration on ne peut plus claire du terme "je pète le feu".
Là, c'était juste avant les flammes....
le photographe a juste eu le temps de se pousser car l'instant d'après, le cycliste s'est envolé à toute vitesse...pssssttttt.......

Une équipe olympique

Rendez-vous sportif très important de la saison 2010, la rencontre InterVillages a permis la mise en valeur des athlètes de la Roue Carrée.
Organisée de main de maître par l'équipe de Comité des fêtes de Paulhac, cette manifestation a rassemblé la fine fleur de l'élite sportive du canton. Six équipes se sont affrontées tout au long de la journée. Sous un soleil de plomb et par une température de four, il y avait sept épreuves et un fil rouge pour départager les concurrents.


Chaque équipe devait être composée de cinq éléments masculins et de deux féminines.
Le fil rouge, un tir à la corde par équipe a été écrasé par la puissance du pack de la Roue Carrée.

Il faut reconnaître que sur la balance, l'aiguille de la Terraillon penchait largement en notre faveur, pourtant allégée par les trente kilos de notre jeune équipière Léa.
Première épreuve : le parcours du combattant

Il s'agit d'un ensemble avec course en sac en duo, un slalom d'agilité et de rapidité, un déplacement avec un œuf calé dans une cuillère tenue en bouche, une course de brouette et pour finir un sprint à deux avec une jambe attachée. Et bien, loin d'être ridicules, Robert, Sylvain, Philippe, Léa, Jean Pierre, Jean Luc et Michel sont venus finir à la deuxième place.
Deuxième épreuve : Le Gob'Flamby.


Pour cette épreuve nous avons un leader, même si nous avons dû trancher entre Michel et Jean Pierre. Ce sera finalement Jean pierre, Michel étant réservé pour le tir à la corde et la pétanque. Simple donc, il faut avaler le plus de Flamby en trente secondes. Léa ouvre les pots et Jean pierre les avale. Hélas, sur une erreur technique, les qualités naturelles de jean pierre n'ont pas pu faire la différence. Onze Flamby n'ont pas suffit!!!
Troisième épreuve : notation du déguisement des équipes.


Nous avions choisi de nous présenter sous nos tenues de gala, notre polo siglé la roue Carrée. Surement pour freiner notre élan, nous avons été sanctionnés pour manque d'imagination. Peu importe, c'est sportivement et sur le terrain que nous voulions briller.

Quatrième épreuve : Le Quiz.
Un éventail de questions diverses qui a démontré que la Roue Carrée c'est la tête et les jambes….surtout que dans la tête il y a la bouche et que c'est par là que passent les bières.
Cinquième épreuve: Le glissé sur le ventre


Dans une pente savonneuse, il s'agit de glisser sur le ventre, attraper au vol un verre d'eau pour ensuite venir remplir un seau en bout de course. Bon, là, troisième seulement mais l'eau ce n'est pas bien notre truc….



Sixième épreuve : La momie.
Il faut enrouler intégralement un membre de l'équipe avec du PQ pour ensuite le transporter dans son sarcophage. Pour cette épreuve nous avions confié à Robert le rôle de l'embaumeur, mais trop soigneux, trop fignoleur, vous connaissez robert….il a trop tardé à emballer Léa.
Et bien nous n'avons pas été payé de nos efforts, peu importe ce n'est pas fini.
Dernière épreuve : Le tir d'œuf à la boule de pétanque.


Il faut le dire notre duo de choc, Philippe et Michel a survolé l'épreuve avec brio.
Au moment du classement général final, nos prestations de haut vol nous assurent une très valorisante deuxième place juste derrière le club organisateur et sa brillante équipe de jeunes.
La journée s'est terminée avec un repas en commun autour de grillades ou chacun a pu se vanter de ses performances, tel Tartarin de Tarascon si vous voyez ce que je veux dire….
En tous cas, merci au Comité des fêtes de Paulhac pour cette organisation parfaite et merci aux équipe d'Azas, des Bisseaux, du Comité des Fêtes de Montjoire, des Habitués de Paulhac pour leur participation.
En ce qui concerne la roue Carrée, dès demain nous reprenons l'entrainement pour tenter de décrocher l'année prochaine la médaille d'or.

L’été approche

L’été approche, et la Roue Carrée arrive en forme pour cette partie importante de l’année.
Un dernier entrainement pour affiner quelques réglages, mais force est de constater que l’ensemble de l’équipe sera à la hauteur de la situation pour la période estivale.
Après quelques perturbations météorologiques qui ont freinées leurs élans, les athlètes ont démontrés malgré tout un haut niveau de préparation.
Pour certains qui étaient montés la veille à Paris assister au triomphe de Toulouse en coupe d’Europe de rugby la transition, entre le périphérique parisien et ses abords sales et bruyants et la cadre de notre séance d’entrainement, leur a fait prendre conscience si besoin était, de la chance que nous avons de vivre à la campagne.
C’est au bord d’une agréable piscine que la table a été dressée. Cadre exceptionnel avec vue imprenable sur montagnes, plaines et coteaux verdoyants.
Très bien installés, le sport pouvait commencer. En guise d’échauffement, l’apéro a été soigné. Dans le calme, la bonne humeur, progression dosée scientifiquement vers la suite du programme. C’est que c’est important l’apéro, il s’agirait pas de se faire un claquage en début de repas.
Une fois lancés, les sportifs enchainent les exercices. Salades, vins rosés suivis d’une série de grillades vins rouges, avec des coups de fourchettes de champions. Les fromages ont également subit l’assaut des athlètes insensibles aux efforts répétés. Et malgré tout ça il restait encore un peu de place pour une séance dessert.
Du haut niveau je vous dis. Question solide, je dirais impressionnant. Mais question liquide…. Bon d’accord, il faisait chaud.
Un seul à trouver l’eau de la piscine à 14°, mais il avait son horloge interne qui était calée sur les glaçons de l’apéro. Pour les autres, elle était délicieuse et au moins à 21 ou 22°.
Pour le final, et aussi pour constater les effets de notre entrainement. Tout le monde est passé sur la "Terraillon". Ca n'a pas fait un pli, c'est le cas de la dire, tous la peau du ventre bien tendu….et c'est là que nous avons pu constater que le muscle est lourd, très lourd.
Que des champions pour cette journée magnifique.

Avec toute notre affection

Si la jovialité est de mise à la roue Carrée, la vie nous rappelle parfois à sa triste réalité.
Nos amis Laurence et Fred ont subit la terrible douleur de la perte d’un proche. Le Papa de Laurence s’est éteint le lundi 3 mai dans le Var.
Puissent ces quelques lignes exprimer toute l'estime et l'amitié sincère de vos amis pour affronter ces moments pénibles et difficiles.
Nos pensées vont vers vous, Laurence et Fred, vos enfants Romain et Marine et votre famille.

Une Bouillabaisse bien arrosée

Initialement il était prévu d’y aller en vélo. Aller ou ? Au restaurant…. Car le 1er mai c‘était la date de notre grand Prix d’ouverture, Le Prix Bouillabaisse. Une cinquantaine de kilomètres pour aller manger une bouillabaisse, un bon plat de poissons en famille et entre amis puisque les épouses et accompagnateurs supporters devaient nous rejoindre en voiture. Moyen le plus sûr pour assurer le retour des pédaleurs.
Seulement voilà, il tombait des cordes et tout le monde n’est pas étanche à la Roue Carrée. Seuls huit courageux dont une très courageuse ont pédalé entre Montjoire et Cuq Toulza. Tous les autres ont jeté l’éponge. Eponge d’ailleurs trop petite pour assécher la route.
Les champions du Jour : Régine, qui en plus a été victime d’une chute heureusement sans gravité, son mari Jean louis. Chez moi, emmener ma femme faire du vélo sous la pluie c’est un cas de divorce, il est fort ce Jean Louis. Il y avait aussi Michel, Chapeau Michel, Christian, Robert, Roger, William et Jean. Jean est le dernier venu dans notre groupe de pédaleurs, mais pas dans notre groupe d’amis ou il est membre depuis bien longtemps. Il tenait absolument à boucler son premier grand Prix. Mission accomplie et bravo à lui. Pour les autres, soit disant cyclistes, ceux qui sont venus en voiture, leur sentiment de culpabilité d’avoir laissé les copains seuls sous la pluie a vite été balayé par les agapes de l’après midi. En tous cas ils ne font pas partie des héros du jour.
Je disais donc que la pluie tombait à seaux. Et bien à table c’était pareil. Le blanc coulait à flots. Le siphon était positionné à un endroit précis de la tablée, un écoulement permanent qui faisait faire des allers retour incessants au serveur. La soupe de poissons nous a réchauffé, les coquillages mirent en appétit et les poissons ont été parfaits pour notre régime de sportifs.
Belle ambiance et maintenant il faut souhaiter que notre prochain Grand prix se déroulera sous le soleil. Et là ce sera Rosé à table…

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